Le thème de la grandeur et de la décadence hante Rome depuis longtemps. Au premier siècle avant J. C., Ovide contribue à exalter le bon temps passé, l’Âge d’or, se faisant, comme Horace, « Laudator Temporis Acti » (Le chantre des temps perdus) comme le cite Lucien Jerphagnon dans un petit recueil malicieux portant ce titre (2007).
« Le mythe de l’Âge d’or », Les Métamorphoses, OVIDE
Le texte original et sa « belle » traduction
Les points grammaticaux importants
En BONUS : une analyse de la fresque « L’Âge d’or » (Pierre de Cortone, 1637-1640).